J’ai eu finalement raison d’une lecture qui a trainé en longueur ces derniers jours sans raison particulière. Il s’agit du roman « L’exil du centaure » de Thilde Barboni dont les dernières pages m’ont semblé ce matin et sur la route, oppressantes. Enfin malgré une mise page chargée, ce titre dense est d’une grande sensibilité.