Pour être honnête, il faut bien reconnaître que peu nombreux sont ceux (parmi les orthodoxes, bien sûr) qui le pratiquent. C'est sans doute dommage, car à la différence du Grand carême, il n'est pas très sévère, mais il faut bien dire que les conditions du monde — à l'inverse de celles de la vie monastique — se prêtent bien mal à la pratique du jeûne, surtout quand il est si long.
L'essentiel, comme disait le néomartyr Alexandre (Schmorell), dont on fêtera la mémoire demain : « N'oubliez pas Dieu ! »
Bonne fête !
Bonne fête à tous les Pierre et à tous les Paul !