Mais Rosalie se métarmorphe dés qu'elle se trouve prés de sa petite soeur Violette... elle est comment dire en contemplation, elle s'arrête de bouger, se transformant en douceur... pour caresser sa soeur, lui parler, la chérir !
J'adore cette espèce de bulle dans laquelle elle s'enferme avec sa soeur...ce silence qu'elle crée juste pour ne pas l'effrayer... la sensibilité qu'elle déploie pour l'obnubuler...
J'aime particulièrement son attitude si délicate qu'elle adopte pour jouer la petite maman...
C'est drôle comment une fille peut être une petite maman, non ?