Je suis là, les gros, je suis là, mais j’ai la paresse dans le corps…
A moins que tu dormes dans ton sèche-linge, t’as dû t’apercevoir qu’il faisait cruellement plus chaud que d’hab ces derniers jours !
Du coup, lorsque je rentre, exténuée et flapie des plages où je m’en suis allée te vendre mes affûtiaux, j’ai moyen l’énergie pour venir bavarder…
Je bonimente à perte de salive pendant des heures et des heures, alors si je dois en plus te tartiner ici mes états d’âmes, je dors quand ?
Je te le demande.
Bref !
J’espère que tu es content…