Magazine Journal intime

S'empiffrer de bounty

Publié le 24 juillet 2010 par Gilles Poirier
On ne peux pas acheter de cartes téléphoniques au magasin du camp, par contre il n'a pas oublié de vendre des cigarettes qui doivent lui rapporter plus. En fait se magasin ne sert pas à grand chose si on n'est pas à court de crème à raser ou de shampoing et que l'on ne veut pas s'empiffrer le soir de bounty, chips et autres saloperies. Bon, si on est vraiment là depuis longtemps, mais vraiment longtemps on peut se laisser tenter par la bière sans alcool, mais même un mois complet, ce n'est pas assez long pour se laisser tenter par ce genre de boisson infecte. Quant aux cartes téléphoniques, il faut s'adresser aux ouvriers qui vendent cela au noir en se faisant surement un petit benef, mais je ne sais pas ou, car ils vendent au prix indiqué sur la carte. Le principal, c'est que j'ai pu recharger mon téléphone seul moyen de communication avec l'extérieur en dehors de l'internet accessible uniquement au bureau.

Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Gilles Poirier 4 partages Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Dossier Paperblog