Rentré du Pérou ou j’ai failli mourir asphyxié en déambulant à plus de 4000 mètres , je dois dire qu’il y a certains avantages à être à Paris au mois d’août : On peut prendre un vélib’ sans craindre pour sa vie, s’aventurer dans le métro aux heures de pointes sans se sentir étouffer par le monde… et même parfois sortir en vieux jean troué pour aller chercher sa baguette sans rencontrer âme qui vive. Les bouchers ont tous déserté. Les gamins n’hurlent plus des insanités dans le jardin et les ados ne font plus brailler leur musique « boum-boum » après 22 heures. Un vrai monde de méditation. Je vais relire les aventures de Tintin au Temple du Soleil.