Non, je ne parle pas des poux. Nous n’en sommes pourtant pas à l’abri, mais chaque chose en son temps.
Mais je te promets que le premier gnome qui me refile ses lentes, il ne verra jamais le visage de sa nouvelle maîtresse.
Un parasite au travail, c’est par exemple la collègue qui est en vacances. Elle n’a tellement rien à faire de sa vie que, plutôt que de profiter de ses quinze jours de congés pour faire autre chose (je ne sais pas : lire ? voyager ? – autrement que « on est allés dans le Sud trois jours, SUR Béziers puis SUR Narbonne »), eh bien elle vient nous « faire un petit coucou ».
Un petit coucou qui dure deux heures.
Non contente de nous coller un mal de tête avec sa voix de crécelle, la bougresse a eu envie de nous aider à mettre les nouveaux vêtements en rayon. Travailler gratuitement, non mais quelle idée.
Je crains, en plus d’un pétrisseur pour mon dos, d’avoir besoin d’un masseur des tempes en fin de journée.
C’est trop bête, la dernière fois, je n’avais pas de Baygon sous la main.