Nous sommes allés voir "Salt", de Phillip Noyce, avec ANgelina Jolie, Angelina Jolie, Liev Schreiber, Chiwetel Ejiofor, Daniel Olbrychski, August Diehl, etc., dimanche soir.
Le début : On remonte 2 ans en arrière, Evelyn Salt est prisonnière dans un camp militaire coréen, accusée d'espionnage. Elle est échangée contre un ressortissant coréen, grâce à l'action de son compagnon.
Deux ans plus tard, donc, Salt, effectivement agent de la CIA, doit interroger un transfuge russe qui lui apprend qu'un espion doit tuer le président russe en visite aux USA, à New York, à l'occasion de l'enterrement du vice-président américain. Cet espion s'appellerait Evelyn Salt.
Salt s'affole, dit qu'elle est innocente, elle a peur pour son mari, mais on doit l'interroger. Le transfuge tue ses gardiens et s'enfuie. Salt profite de la pagaille pour s'échapper aussi. Elle rentre chez elle pour découvrir que son mari a sûrement été enlevé. La sécurité nationale fonce chez elle, d'où elle s'échappe à nouveau de justesse.
Elle est traquée. Et tous ou presque croient qu'elle va tuer le président russe.
Salt va à New York...
Je ne vous en dis pas plus.
J'avais peur que ce soit une histoire de plus d'agent double, triple, quadruple... Et c'est presque ça. Mais pas tout à fait ; c'est un peu plus alambiqué, et ça fait beaucoup plus intervenir l'aspect humain qui manque souvent aux films d'espionnage.
Beaucoup d'action, des cascades peut-être un peu trop irréalistes, une bonne histoire à la "24" ("24 heures chrono" ; et bien sûr, on a droit à l'assassinat de Kennedy, sans quoi un film sur la guerre froide n'est pas un film sur la guerre froide.
Petit bémol pour les flashbacks un peu gnangnans de Salt et son arachnologue de mari.
PS : Je me demande combien de litres de gloss il a fallu pour faire ce film...