La sécu m'a oubliée dans ses règlements.... bon, ok, si je ne vois rien venir faut que je les rappelle (et mes créanciers si je leur dit que je bugue vous croyez qu'ils vont apprécier ? d'expérience je sais qu'ils n'en ont rien à cirer ^^").
Le patron fait tout pour se faire oublier, à tel point qu'il n'en respecte même plus la loi (celle du 25 juin 2008 sur le maintien de salaire) et il fait un peu comme les trois singes "je ne vois rien, j'entends rien, je ne dis rien". En espérant que ça passe tout seul peut être ?
Bref, je téléphonerai à nouveau à l'inspectrice du travail lundi, puisque c'est ainsi, et dans la foulée, je me ferai aussi le médecin du travail histoire d'avoir un peu des nouvelles.
La médiation... ah, ça me fait rire, le patron s'est encore enfoncé d'un cran dans sa bêtise : il m'affirme dans un courrier datant de juin que le médiateur choisi a accepté la mission, alors que celui-ci n'a été contacté qu'en août, pendant ses congés et qu'il était sur le point de refuser la mission au motif qu'il avait trop de travail. Ce n'est que mon appel et hum... mes nerfs qui ont lâchés au téléphone qui lui ont fait prendre conscience de l'urgence du dossier (on arrive pratiquement à un an maintenant puisque madame la collègue a envoyé son premier mail "hors des clous" aux commerciaux le 6 octobre pour commencer à s'en prendre à ma pomme sous prétexte que son ego allait mal vis à vis de l'intitulé de mon poste !).
Du coup j'ai un rendez-vous deuxième quinzaine de septembre, reste à savoir quand la collègue aura le sien, il va falloir qu'elle fasse des kilomètres pour aller au rendez-vous et cela risque de la mettre de mauvaise humeur, pauv'bichette.
Bref, je n'ai plus qu'à ronger mon frein, tenir bon la barre et hisser haut !...hum.. non, je n'ai toujours pas de yacht flûte... tout ça parce que j'ai oublié de jouer au loto. Mais quelle tête en l'air je peux être !!! ^^"
Aller, si d'ici lundi je n'ai pas de nouvelles du patron, je suis bonne pour me fendre d'un nouveau recommandé lui rappelant la loi et prévenir que bon, je pourrai bien faire un référé aux Prud'hommes si nécessaire.