chez Fayard, août 2010, 341 pages
Voici ma deuxième lecture pour Chroniques de la
rentrée littéraire, en partenariat avec Ulike et Cultura.
La première est là.
C'est mauvais, raté, et sans doute ce qui est pire car impardonnable : c'est bâclé.
Normalement je ne parle pas ici de ce que je n'aime pas. Je passe sous silence...
Mais là, je suis tenue par la promesse faite à Abeline Majorel de contribuer au projet herculéen qu'elle est en passe de réussir... (faire passer en revue le plus grand nombre possible de livres de la rentrée littéraire par des lecteurs-blogueurs sans aucun lien avec le milieu de l'édition !).
Alors, pour l'éreintement, mesdames-messieurs c'est par ici, suivez-moi...