En matière d’ivresse, j’ai comme on dit, un vécu certain.
Il m’arrive, comme à chacun, de rendre tripes et boyaux, d’avoir mal aux cheveux, bref, d’afficher tous les stigmates de la fermentation alcoolique.
Si quelque ascète lit ce blog, je précise que les symptômes de ladite fermentation, sont en somme assez classiques : Bouche sèche, migraine, nausée, fatigue, sensation de faiblesse, troubles de la mémoire, faim de loup, honte… (parfois monumentale la honte !)
Néanmoins, l’empirisme régnant derrière mon éthylisme routinier est un parapet en granit et mes gueules de bois demeurent, Doux Jésus, plutôt exceptionnelles…
Jusqu’ici, je m’imaginais incollable quant…