« Les … étaient positivement saouls de tant de sourires, de caresses, de tressaillements, d’harmonies, d’accords, saouls de cette beauté incompréhensible, écrasante, saouls de bien-être et de tant de douceur au monde. Les soirs chaviraient dans l’infini avec des dégradés et des soupirs qui mettaient l’âme à l’envers au plus malins. Et les midis étaient de vrais coups de trique sur la nuque. Il fallait s’étendre dans la fraîcheur des volets clos sur les salles carrelées, qui sentaient les fruits, le fromage de chèvre, et piquer un somme de digestion, après avoir préparé un rince-bouche pour le réveil, dans un seau tiré du puits tous exprès. » p 121.