Louise, c'est pas du Bidon !

(oh que c'est mauvais comme titre)
(j'ai honte)
(si, j'te jure, j'ai vraiment honte)
(enfin pour cette fois)
(parce que d'habitude, ça passe, hein !)
Bon, Internaute-de-mon-coeur, mon petit canard (bio) à l'orange (bio), toi aussi l'écologie et toussa ça te plaît, hein  (parce que, comme moi, t'as l'impression de faire au moins un truc utile de ta laïfe). 
Ca fait un petit moment que je voulais te conter la mignone petite histoire qui fait le buzz du ramdam sur la-toile-internationale-que-c'est-formidable :
La-Petite-Louise-Bidon-Deviendra-Grande vs. La-Grosse-Multinationale-à-Fric.
Un jour, la Petite Louise s'ennuyait ferme dans son atelier et elle se demandait bien ce qu'elle pouvait faire pour s'amuser un peu et faire passer un message tout en ne détruissant pas notre belle planète.
Hop, hop, hop, en deux coups de cuillère à pot*, la Petite Louise a eu une idée de génie: prendre à revert les codes du luxe, du glam' et des paillettes en les détournant sur le produit le plus grande consommation qu'il soit.
Hop, hop, hop (encore), ni une, ni deux, La Petite Louise s'inscrit en auto-entrepreuneuse comme lui a rabaché le gouvernement (parce que c'est une fille gentille qui fait bien tout comme on lui dit) et lance son cabas Louise Bidon, son monogramme écologisant et son sloggan "Démarquez Vous" :

Alors bien sûr, chez Louis, on est une marque de luxe, donc on a aucune auto-dérision parce qu'on représente le chic à la française le tralala et les flon-flons qui vont avec, mais moi, perso, je trouve ça bien dommage parce que les cabas de La Petite Louise, ils sont bien plus rigolos que les cabas carrouf' (la preuve en image), carrément plus rigolos qu'un fake sac Vuitton acheté rue St-Denis et qu'ils ne sont pas prêts de faire du mal à ce santuaire monogramé de la mode.
Donc voilà, moi je soutiens Louise et sa liberté de création, même si pour le moment j'ai pas acheté de cabas parce que mes finances font grève. Et je t'invite a venir faire un tour sur son Facebook, son groupe Facebook et sa fanpage Facebook.






*oui, je lutte toujours pour la réhabilitations des expressions désuettes et démodées qui font le charme de notre langue.