Zoom sur les circonstances :
23h30 précise, à peine les fesses posées sur une chaise, une assiette garnie devant le nez, un cri strident en provenance de la table des enfants m'a rappelé que 1/ je n'étais pas venue seule mais bien accompagnée ( Ah tiens, salut Chéri, t'étais là, ah oui suis-je bête ?! C'est le mariage de ta frangine !), 2/ j'avais effectivement accouché trois ans auparavant et que le résultat de cette douloureuse poussée me réclamait corps et âme pour une raison qui m'étais encore inconnue, 3/ j'allais renouer avec les excès de vitesse pour atteindre les urgences en plein milieu de la nuit...
Chers lecteurs, la moralité de cette péripétie est simple : aucun môme tu ne pondras avant d'avoir été convié à tous les mariages de ton entourage.