Comment ne pas puer le bonheur ?

J’ai déjà écrit que j’empestais le bonheur.  Je récidive aujourd’hui : j’empuantis le bonheur !  Sincèrement, ça ne peut pas en être autrement.  J’ai un chéri qui m’aime autant que je l’aime, qui est autant emballé que moi de voir Xavier naître; j’ai un nid plus que douillet dans lequel je me sens parfaitement chez moi, dans lequel chéri, bébé et moi vivront longtemps ; j’ai des amis extraordinaires qui sont fort heureux de ma bonne fortune, une famille et une belle-famille qui trippent de savoir qu’il y aura un p’tit nouveau et des voisins qui sont autant excités que nous de l’arrivée imminente de Ti-Pout.  Alors, comment ne pas puer le bonheur ?