Les vieux qui regardent passer les mobylettes
Publié le 29 septembre 2010 par Gilles Poirier
Le temps s'est nettement rafraichit ces derniers jours et maintenant il commence à faire un petit peu frisquet le matin et pendant la journée il fait chaud sans plus, on doit tourner autour des 30-35 degrés, guère plus. Bon, pour beaucoup d'entre vous, 30-35 degrés c'est chaud, mais comparé aux 40-45 degrés que l'on avait avant, c'est un net rafraichissement. Il faut laisser au corps le temps de s'y habituer. Mais le plus gênant dans cette histoire, ce n'est pas la température, c'est ce vent qui souffle en permanence depuis trois quatre jours et qui envoie du sable partout. Ce n'est pas encore la tempête de sable mais il y en a suffisamment pour que l'on ait l'impression constante de manger du minéral. Vous aller me dire que là, je fais comme les vieux assis sur un banc sur la place du village qui regardent passer les mobylettes passer et qui parlent du temps, mais pas tout à fait, car ici, il n'y a pas de mobylettes donc contrairement à ces vieux qui pouvaient râler contre le bruit de celles ci et de la jeunesse de nos jours et que maintenant ce n'est plus comme c'était, ah je vous jure... et bien ici,, je disais, faute de mobylettes, on est bien obligé de parler du temps.