D’Emmanuel Carrère aux éditions POL
C’est le titre qui m’a interpellée, pour l’intérêt évident qu’il suscite envers les autres.
Ce livre est une mémoire vivante, en hommage à des personnes mortes bien trop tôt parce que la vie en a décidé ainsi.
L’auteur va recueillir des témoignages.
L’émotion est là, intense, vibrante…
Une incroyable humanité ce dégage dans ce livre…
4ème de couverture :
A quelques mois d’intervalle la vie m’a rendu témoin de deux événements qui me font le plus peur au monde : la mort d’un enfant pour ses parents, celle d’une jeune femme pour ses enfants et son mari.
Quelqu’un m’a dit alors : tu es écrivain, pourquoi n’écris-tu pas notre histoire ? C’était une commande, je l’ai acceptée. C’est ainsi que je me suis retrouvé à raconter l’amitié entre un homme et une femme, tous deux rescapés d’un cancer, tous deux boiteux et tous deux juges, qui s’occupaient d’affaires de surendettement au tribunal d’instance de Vienne (Isère).
Il est question dans ce livre de vie et de mort, de maladie, d’extrême pauvreté, de justice et surtout d’amour. Tout y est vrai.