Je vous laisse les vôtres.
Car j'ai dans l'idée que si vous saviez les miens, vous me les laisseriez sur les bras.
Heureusement (pour ma pomme), je n'en ai pas.
Mais peu importe puisque vous ne le savez pas.
On ne manque pas de ce dont on n'a pas connaissance.
On ne court après ce qui n'existe pas.
A moins d'avoir trop d'imagination.
Comme si c'était possible.