Bon, j’avais déjà avoué que j’aime cet artiste dans un billet précédent, je peux donc récidiver. Il se trouve que le jeudi 7 octobre dernier, Christophe Maé a eu la très bonne idée de venir donner un concert dans le Zénith de ma ville à moi. Et que, munie de mon billet acheté au printemps (il fallait bien ça pour être placée ainsi pile poil au milieu, face à la scène), j’y ai assisté. Nous étions bien sûr plusieurs milliers, mais paradoxalement, il y avait quelque chose d’assez intimiste… Ce qui frappe avant tout, c’est son énergie incroyable : il chante, danse, bondit partout, joue de l’harmonica, plaisante avec le public. On se retrouve embarqué dans un concert dont se dégage une super énergie, une super ambiance enjouée et presque bon enfant.
Et si j’étais déjà conquise par sa voix et ses chansons, je suis encore plus séduite après avoir vu les facettes de ce qu’il appelle « sa famille musicale ». En effet, j’ai découvert durant ce concert ceux qui l’accompagnent, apportant à sa musique leurs propres univers et leurs propres rythmes : deux magnifiques choristes africaines, un bassiste noir et plus tout jeune genre jazz & blues, un guitariste aux accents hispaniques semblant venir des Andes, une baba-cool au look indien aux claviers, et un batteur super pêchu… Une mention spéciale pour l’une de ses choristes qui nous a offert un beau voyage en Afrique durant quelques minutes d’émotion pure en chanson. En conclusion, j’ai adoré, on ressort de là avec le sourire aux lèvres et une joie de vivre formidable ! Merci Christophe (tu permets que je t’appelle Christophe ?).