Posted on 12 octobre 2010
Je suis un mouton.
Mais j’ai des circonstances atténuantes.
Ça a commencé l’autre fois quand Mah-Yu m’a vanté les qualités « doudouesque » des sacs de Jérome Dreyfuss. Surtout le modèle Billy, grand it-bag de la blosphère mondiale il y a 2 ou 3 ans (en ce moment c’est le town de Balanciaga, si tu veux tout savoir).
Ensuite par un hasard complètement fou je me suis trouvé successivement en présence de femmes diverses et variées me vantant la praticité et la douceur de ce sac.
Et puis je l’ai vu porté (encore par hasard).
Et puis la fille de la Fnac m’a fait remarqué que si mes cartes de fidélités se démagnétisait à la vitesse de la lumière il y avait surement un rapport avec l’aimant de mon sac actuel.
Et puis jeudi je me suis retrouvée rue Jacob pour tout autre chose que du shopping mais le fait est que la boutique Dreyfuss était pile poil à coté de mon rendez-vous. Devant tant de coïncidences, j’ai fini par faire ce que le Destin attendait de moi.
Et il pue le bouc. (Comme les trucs en cuir de chameau que t’achètes dans les souks marocains) Mais je l’aime quand même.
Pour l’instant il dort dehors, rapport à l’odeur, mais dès qu’il sent meilleur je crois que lui et moi on va devenir inséparables.