Cinquième embrun avec - encore - des guitaristes. Cette fois dans une vue de la rue du Commerce. Horrible ligne bourgeoise plus que marchande où les gosses de riche boivent leur mauvais Merlot en terrasse.
Est-ce là une mascarade ?
La nuit qui voit le réel est cachée par les lampadaires, les éclairages, les crevasses jaillissant des visages retenues par des fonds de teint, des paillettes. On veut cramer l'ombrage, enterrer l'obscure indifférence, le chuchotement macabre. Cachez la nuit, imbéciles. Soufflez vous-mêmes les trompettes mais Dionysos ne sera pas des vôtres.