Nous vivons à mon avis, une période extrêmement favorable pour ce qui pourrait être un renouveau salutaire du Christianisme. Après un réel et regrettable passage, durant des siècles, par les affres du pouvoir … Nous avons l’occasion de revenir aux fondamentaux d’un Evangile bien compris …

Je reprendrais volontiers les paroles de Fabrice Hadjadj « Le christianisme comme entité sociologique, ou bien comme moyen d’avoir des « repères » et des « valeurs »… ça ne m’a jamais beaucoup excité.. »…
Aujourd’hui, chrétiens ou non, nous sommes appelés à nous questionner sur l’essentiel. Aujourd’hui, les ‘chemins’ se rencontrent. Aujourd’hui, nous sommes questionnés au-delà de la morale et de la doctrine. Et c’est de là, où Jésus s’était volontairement placé !

Notre christianisme, aujourd’hui doit être résolument ‘moderne’ et accompagner le désir de plus d’humanité. Nous devons lutter contre les images païennes du dieu
archaïque et magique, et retrouver le chemin de l’intériorité. Le don, la force

Parmi les paradoxes, il y a « Vatican II », ce concile qui n’a toujours pas été reçu… « Il est certain que la station debout au milieu du gué, où s’est installée l’Eglise depuis Vatican II, est la plus inconfortable et la plus périlleuse » J.P. Mignard ( avocat ).
