Free Mobile, condamné à réussir ?

« Orange, SFR et Bouygues Telecom  nous ont fait des offres pour un accord d'itinérance 2G. En ce qui concerne l'itinérance 3G, les trois opérateurs mobiles en place ont refusé de discuter de ce sujet. C'est pourtant l'assurance pour celui qui signera avec nous de compenser financièrement notre arrivée. C'est un contrat de plusieurs centaines de millions d'euros. Nous nous donnons jusqu'à la fin de l'année pour convaincre un opérateur ». C'est ce que Xavier Niel, patron Free, a déclaré aux Echos.

Et il semble bien convaincu de réussir. C'est tout le mal qu'on lui souhaite. Que l'on se souhaite !

Et a priori, la division de notre facture par deux est toujours d'actualité.

« Nous appliquerons les recettes de l'ADSL : nous ne serons pas un opérateur low cost, mais nous aurons une structure de coût intelligente. Nous nous différencierons par l'innovation, en construisant un réseau tout IP, en intégrant à terme des capacités mobiles dans la Freebox (Femtocell), en rajoutant des équipements de réseau que nous concevons, afin de rationaliser le coût de construction et minimiser les frais d'exploitation ».

Xavier Niel espère que Free Mobile atteigne la part de marché de Free dans l'ADSL, près de 25%.
Rendez-vous début 2012 pour une couverture de la population de 27 % ?

Je signe où ?