Pascal

Quand ça ne va pas, je l’écris. Quand ça va bien, je l’écris aussi et ce soir, je rentre de ma première pratique de danse de l’année avec le sourire du bienheureux.

Quel beau privilège que je me suis donné de pouvoir tendre la main à une belle femme, l’emmener jusqu’au centre de la piste et savoir la faire danser. Lorsque ces femmes me retournent leur plus beau sourire, me regardent dans les yeux du début à la fin et ne se formalisent pas si je me trompe une fois ou plus, elles me font sentir bien, elles me font sentir Homme.

Oui, je suis aux anges !