Si vous n’avez pas le coeur bien accroché, passez votre chemin…
Ce billet n’a rien de léger, de drôle, de beau mais comme son titre vous l’indique a pour but de vous parler de ma nouvelle vie à la campagne et des découvertes macabres que j’y fais.
Je peux vous dire que face à tous ces animaux (mulots, oiseaux, chats, etc…) que je retrouve morts dans le filtre de la piscine, au pied de la véranda ou sur le bord de la route en rentrant le soir je ne peux m’empêcher de réagir excessivement.
Depuis un peu plus d’un mois je me découvre, j’apprends que finalement je ne suis pas si courageuse que ça. Que finalement je ne suis pas capable de retirer ces petites bêtes de mon jardin – même avec des gants, même avec une pince, même en me concentrant ! Je deviens le stéréotype de la fille qui sautille sur place, pleurniche, remue les bras mais surtout ne fait rien. J’en connais un qui s’est moqué et il a eu raison.
Peut-être ne suis-je pas faite pour la vie de rat des champs… Peut-être que je suis un rat des villes… Peut-être que tout simplement ça me touche…