Lundi et mardi j’ai eu un rythme de folie au taf, pas une minute pour souffler.
A peine le temps d’encaisser et de digérer tout ce qui se passe.
Les heures sont des minutes et le temps passé le soir avec mes enfant des secondes…
Tout juste le temps d’en profiter. Tout est course. Tout est chronométré. L’obectif est de les alimenter, les laver et les coucher.
Les respirer, les câliner indispensable mais de courte durée.
Puis vient le mercredi et son après midi.
Le temps s’arrête, s’étire.
Je reste sur le canapé à les regarder. Je ne fais rien d’autre.
Quel délicieux contraste entre cette course effrénée et cette lenteur rassurante.
Le mardi soir je suis en haut d’une falaise en plein vent, agitée et le mercredi en bas sur la plage caressée par la douce brise, apaisée.
Ma fille a découvert Sophie la girafe.
Elle lui a croqué le museau, puis l’oreille puis le cul pour finir par le cou.
La preuve en image!