Magazine Journal intime

"Frères, croyez en moi qui ne respire plus par moi-même, même si ça ne se voit pas."

Publié le 28 octobre 2010 par Elsia

J'ai une fascination totale et absolue pour Valère Novarina, je dis "fascination" et pas "admiration" parce que la différence est importante, la paralysie sur-réelle qui supplante les hautes qualités estimées.

J'en ai déjà parlé ici, puis , et là, et c'est tout naturellement ses mots qui ont inauguré alibsia.

Ces mots sont comme mon évangile contemporain, là où trouve nourriture spirituelle l'agnostique pour qui l'homme, le Jean Singulier, est le seul point tangible et en même temps étranger, inconnu, profondément incertain. Toujours y revenir, en boucle, encore, comme une drogue parfois, une couverture rassurante, un enveloppement de mots, d'une langue naturelle, souple comme la pâte à modeler, comme un voile et une flamme à la fois.

Aussi cela fait 2 semaines que j'ai écrit dans mon agenda que le samedi 23 octobre 2010, Guillaume Gallienne allait consacrer son émission "ça peut pas faire de mal" à Valère Novarina... autant dire que je trépignais d'impatience.
Un peu - beaucoup moins que sur le bord de mon siège l'an passé à la représentation de l'Acte Inconnu à Strasbourg, mais tout de même.
Et c'était très bien. Très très bien. Surtout les dernières 5 minutes. Mais tout en fait.

Un grand moment de reconnaissance pour Guillaume Gallienne en voyant cette programmation, "reconnaissance" au sens que soudain je me suis reconnue dans la programmation, plus encore que d'habitude, je pensais depuis longtemps, depuis le test estival déjà, qu'il y avait quelque chose dans cette petite case d'émission qui était bien là pour parler à mes goûts, mais à ce point, c'était providentiel !

Bref depuis hier cette émission est disponible à l'écoute et au téléchargement...
... et je ne saurais trop chaudement en recommander et l'écoute et le téléchargement !


Retour à La Une de Logo Paperblog

Dossier Paperblog