Le come back des séries avec des vrais morceaux de bellâtres dedans

Publié le 30 octobre 2010 par Anaïs Valente

Depuis septembre, c’est le retour des séries en streaming.  La rentrée aux States quoi, passque moi, il est plus question de mater quoi que ce soit en VF, c’est comme manger un macaron sans sucre ou boire un Cosmopolitan sans alcool (j’avais écrit « manger un éclair au chocolat sans sucre ou boire un pisang sans alcool », mais ça fait tellement ringard, et moi je veux avoir l’air hyper à la mode et tout hein, nonobstant ma ringardite aiguë).

J’ai récemment vu la fin d’un épisode de Grey’s Anatomy sur TF1, et my god les voix françaises, à avoir des fous-rire au point d’en faire une crise d’asthme… et je voudrais pas qu’une série médicale me fasse décéder, faut pas pousser, déjà que ça me rend hypocondriaque au plus haut degré.

Donc, je suis très à la pointe, vu que je regarde les séries à peine passées aux States.  Oui, bon, en ce moment, j’ai deux ou trois épisodes de retard, because beaucoup d’activités, mais je vais me rattraper.

Vous vous demandez ce que je regarde en ce moment… hein que vous vous le demandez ?  Nan ? Alors passez au billet suivant.  Si ?  Alors voilà…

D’abord, je regarde Desperate Housewives.  Avec Bree qui engage un genre de livreur de Coca Coca light qu’en y regardant de plus près, ben il me fait penser à cet acteur de Beverly Hills, mais la vieille version, avec Kelly et Brenda toute brushingées, qui avait une tête à claques et était hyper gringalet.  Même que son nom c’est Brian Austen Green et pour une fois je m’en souviens car j’ai lu qu’il venait de se marier avec chais plus qui mais une super top biche.  Est-ce bien possible que le petit gringalet de mon adolescence soit devenu cet homme si musclé, si rhaaaaaaaaaaaa, si rhoooooooooo, si aaaaaaaaaargh ?  Ben oui, c’est bien lui.

En parlant de Beverly Hills, justement, je regarde aussi la nouvelle version, qui n’a rien à voir avec l’ancienne, mais elle est cool, pleine de vilains pas beaux, pleine de filles minces et belles, les garces infectes.  Et y’a un super bellâtre bad boy top craquant qui fait du surf et arbore des tablettes de chocolat dont je ferais bien mon quatre heures.

Puis je matte les deux cousines bien sûr, Grey’s Anatomy et Private Practice.  Purée, que de beaux mecs aussi dans ces séries.  Chais pas si c’est moi, mais en ce moment, je les trouve hot hot hot ces deux séries, surtout Private Practice, tous les médecins y sont hoooooooooot (à part ce psy qui en a pourtant une si longue, dixit ses proies – m’en fous, j’aime pas les longues).  Et puis dans Grey’s, ben y’a docteur Mamour.  Tiens, encore un gringalet de mon adolescence (Can’t buy me love) transformé en bellâtre.

Et en matière de bellâtres, faut pas manquer Gossip girl.  Dieu ce que Chuck est totalement craquant, avec sa voix de fumeur de havanes (c’est là qu’on voit à donf l’intérêt de la VO).  Sans parler de l’autre là, qui a un prénom débile, à moins que ce soit son nom de famille, oui, c’est ça, Nate Archibald.  A-t-on idée de s’appeler Archibald avec une si belle gueule.

Quand je suis en manque d’Edward (prononcez Edwooooord, à la québecoise, bien plus rigolo), je me rue shttp://myblog.skynet.be/admin/posts/post.phpur Journal d’un vampire, avec également deux bellâtres, surtout le vilain, Damon.  Ses yeux, ben c’est la folie.  Pour des yeux pareils, ben, je tuerais père et mère (et si j’avais le sens de l’humour noir, je dirais que pour le côté père, c’est déjà fait – mais j’aime pas l’humour noir, alors je m’abstiendrai). 

Quand je me relis, j’en conclus que je regarde les séries en streaming pour une et une seule raison en ce moment : les bellâtres.  Leurs yeux, leurs corps, leurs prouesses au lit et partout ailleurs, leurs baisers sensuels et leur amour qui semble éternel.  A croire que les effets du printemps à venir se font déjà sentir…

D’autres séries avec bellâtres à me conseiller ?

Et une illu de Kessmol, trouvée par le plus grand des hasards sur ce blog à mourir de rire, qui malheureusement a l'air abandonné, tous accros.