L'autre jour, un chroniqueur de Fogiel sur Europe 1 lançait un défi amusant : trouver une raison de détester Guillaume Canet.
C'est vrai quoi, il est beau (non, mieux, charismatique), intelligent, doué, sympa... Il sort avec Marion Cotillard. Il a le monde à ses pieds sans avoir la grosse tête.
En allant voir Les petits mouchoirs, j'espérais vaguement trouver une faille. Mais dès la séquence d'ouverture, j'ai su que c'était fichu car ça démarre direct avec un titre que j'adore (Are you gonna be my girl du groupe australien Jet) et que revoici, car oui, je l'avais déjà mis sur mon blog il y a deux ans.
Comme quoi, il est possible de griller le grand Canet.
Et son film, alors ? Eh bien, tout le monde vous le dira. C'est le film d'une génération (ou de toute personne sensible aux grandes histoires d'amitié), tout en humour, en finesse, en émotion, servi par une bande d'acteurs formidables avec un François Cluzet au sommet de son art. Alors, comme en plus, la b.o. est géniale de bout en bout, foncez-y !
En fait, Guillaume, je te déteste. Tu es trop parfait.