Le fait qu’il ait préféré ne pas se présenter à la conférence de presse après Genk–Anderlecht, et qu’il n’ait pas tendu la main à Ariël Jacobs, a fortement déplu au président du Sporting.
“Je pensais ne pas trop m’exprimer à ce sujet, mais s’il y en a un qui parle toujours de professionnalisme, je dois constater que son comportement était tout sauf celui d’un professionnel. C’est peut-être la raison pour laquelle il officie aujourd’hui à Genk et non plus à Anderlecht ! Si on place constamment son ego devant les intérêts de son club, on a un gros problème. C’est ce même problème que nous avions connu avec lui à Anderlecht, et c’est inacceptable. Combien de fois ne l’ai-je pas soutenu, au Sporting ? Deux, trois, même quatre fois ? Mais à un certain moment, trop, c’est trop. Quant à l’attitude de mon propre coach dans cette affaire, je ne peux rien lui reprocher. Sauf peut-être de ne pas avoir rempli, à temps, les noms sur la feuille de match. Quoi que je puisse le comprendre lorsqu’il a dû se dire : L’autre joue avec mes pieds ? Je joue aussi avec les siens…”
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