Pierre Henry : oui, oui, avec un Y et sans tiret. C’est un homme assez tourmenté, il prend des cachets dont il ne sait pas lui-même le contenu, soit disant pour soigner son épilepsie. C’est un ancien étudiant aux Beaux-Arts de Paris, il épouse Juliette et a une fille avec elle. Il bosse comme agent d’assurance à la Mutualité Bretonne, siège, Paris-La Défense. Et puis… Son passé, son futur le rattrape et ça finit par tourner au drame.
Elisabeth : Le nom de ce personnage m’a été inspiré par la chanson de Fersen Elisabeth (un véritable petit bijou ! j’en ai parlé ici). Vaguement inspiré. Elle déteste son prénom et préfère Elisa. Elle est mariée à Hervé qu’elle connaît depuis son enfance. Vie à Bruxelles, deux enfants dans le présent, mais comme l’histoire se déroule sur une vie entière, évidemment, elle a eu un passé bien différent. J’en dis pas plus, sinon, je révèle une bonne partie de l’intrigue et ça serait dommage.
Hervé : Le mari d’Elisabeth. Il est amoureux d’elle dès le jour où il la rencontre, à huit ans. Il fait la promesse, usant de son sang pour rendre son serment des plus sérieux, de l’épouser un jour. On se doute qu’il y arrive (vu qu’il est marié dès le chapitre 2… et que la promesse est faite dans le chapitre 3). C’est le seul personnage à narrer l’histoire de manière chronologique, rationnelle et avec une certaine distance. C’est principalement du à son caractère réservé, pragmatique.
Voilà donc pour les 3 personnages principaux. Mais laissez-moi vous présenter mon petit chouchou. Personnage secondaire, qui a pourtant une forte influence dans le roman. Il apparaît physiquement dans le chapitre 13-Fontainebleau, même s’il est souvent nommé avant. Et apparaîtra sans doute dans quelques autres, mais ce n’est pas encore sûr…
Ce personnage c’est :
Simon Freudde : oui, oui, Simon, et Freudde avec deux D et un E. C’est un psychiatre (attention pas un psychanalyste !) un peu rigide et collet monté en apparence. A l’articulation soignée, comme son aspect, et très bourgeoise. Mais il a beaucoup d’humour, reconnaît qu’il doit y avoir quelque chose de freudien dans sa vocation médicale. Il pousse même le vice jusqu’à avoir appelé sa fille Anna. Pas par provocation, juste parce que c’était un prénom qu’il aimait.
Voilà, ça vous campe un peu le personnage. Bon, je ne sais pas si je pourrais réellement le développer dans l’histoire vu qu’il ne me manquera pas de mots à la fin pour obtenir les 50 000 requis pour gagner le NaNoWriMo, mais on verra !