Refermons pour un temps la parenthèse ivoirienne. Du moins celle du pays, car celle que sa fille a inspirée, je vais la continuer sous la forme de ce texte puisque dans la vie, elle est refermée depuis un bon moment maintenant...
Certes, je ne suis toujours pas satisfait et il reste beaucoup de travail à faire sur ce qui arrive maintenant. Mais j’ai besoin, quelle que soit la qualité du texte, ou sa médiocrité pour ne pas choisir un terme plus dur, de le proposer ici à ceux qui auront la curiosité de le lire.
Après tout, ceux qui n’ont à répondre que par le mépris ont depuis longtemps déserté ce blog. Et je sais bien, ainsi que je le répétais encore récemment ( Cher éditeur (bis) ) que la seule place, s’il en a une, de ce texte, c’est ici sur internet.
Je ne sais pas à quel rythme cela sortira, sans doute à celui de mes corrections et des mises à jour des extraits précédents.