Pour faire suite aux billets : « Il va falloir, il va falloir… » Et « Tisiphone aux portes du Tartare. »
J’arrive d’une rencontre improvisé avec Tisiphone, la travailleuse sociale qui avait pris le relais du suivi familial père-fille. Je ne m’attendais pas à la rencontrer aujourd’hui puisqu’à notre agenda, il n’y avait qu’un rendez-vous avec l’orthopédagogue. Je me suis senti au dépourvu en début de rencontre et il m’a fallu rapidement me rappeler mes griefs à son égard afin de les lui exposer. Je crois qu’elle a bien compris mon malaise et mon choix de ne plus la revoir.
D’ici mars, nous aurons une rencontre-bilan avec la pédo-psychiatre, l’orthopédagogue et Tisiphone pour une mise à jour du dossier et cerner les nouveaux objectifs d’un suivi familial père-fille. Ce sera sa dernière intervention puisque j’ai demandé à changer de travailleuse sociale et qu’en plus, je refuse désormais que ce soit la même personne qui fera le suivi familial mère-fille avec l’ex. Je désire une séparation totale et complète.