Comme la moitié du blogomachin qui n'y est pas allergique, j'ai succombé, moi aussi à la mode. Voilà, j'ai un chat.
Fig. un Le chat et moi (je suis à gauche)
Comme la moitié du blogomachin qui n'en a pas marre de ces décorations de saison, j'ai un sapin.
Fig. deux Le sapin et moi (je suis à gauche aussi)
Comme certains me l'avaient dit, il y a inadéquation entre un chat (Fig. un, à côté de moi) et un sapin (Fig. deux, toujours à côté de moi mais là ce n'est plus un chat). Ils me disaient : tu ne peux pas avoir un chat (Fig. un) et un sapin (Fig. deux) parce que le chat (Fig. un) va détruire le sapin (Fig. deux).
Bah en fait ce n'est pas vrai. C'est même le contraire qui se produit, le sapin (Fig. deux) qui détruit le chat (Fig. un). Et c'est le parquet qui trinque.
Fig. trois Le parquet en chêne et moi (je suis au dessus)
Je m'explique : le chat (Fig. un) grignote le sapin (Fig. deux), mais sans toucher aux décorations harmonieusement placées là par votre serviteur (tiens ? Il n'y a pas de Fig. pour vous le montrer, lui). A cause de ça, il ne digère pas son repas qui ne sent pas bon, et il recouvre le parquet (Fig. trois) de quelques petits tas que je me refuse à photographier (on n'est pas chez qui vous savez).
Le chat rendait, j'ai rendu le chat.