Incontestable évidence…

L’automne est décidément plus que là. L’hiver arrive bientôt. La pluie coule à flot… Maussade météo.

Alors je décide de résister vaillamment à la tentation d’hiberner un peu, beaucoup, totalement jusqu’à ce que les arbres retrouvent leurs feuilles et que la chaleur re-échauffe ma peau.

Ok, je le conçois volontiers, l’automne n’est pas la plus belle saison pour briller alors je concentre mes efforts sur l’essentiel et je décide surtout de prendre soin de mon corps, qui, même s’il se pavane nettement moins qu’aux beaux jours, n’en reste pas moins celui qui me porte et me transporte au quotidien. Clarins utilise cette jolie définition  dans sa com : « Endroit où l’on passe toute sa vie et où dont il est agréable de prendre soin ». Incontestable évidence…

Alors, ma stratégie automnale, très basique mais plutôt efficace, tient finalement en 7 points :

1. Des gommages à gogo et des crèmes qui font la peau douce
2. Du sport à bonne dose pour tonifier mes muscles presqu’endormis : un petit footing deux à trois fois par semaine, le tout par-ci, par-là ponctué d’une séance de Pilates. Un cocktail idéal pour souffler et évacuer le trop plein lorsque ça déborde…
3. Parce que le popotin de la demoiselle ci-dessus a de quoi inspirer (d’ailleurs, faudrait pas qu’elle la ramène trop avec son adorable petite culotte et, soit dit en passant, je veux bien la même aussi !)… Des massages drainants, désinfiltrants, remodelants ou tout ce qu’on veut, histoire de mettre mes petites cellules paresseuses en mouvement. Il n’y a pas de raison qu’il y ait que moi qui bosse !
4. Des crèmes de soin un peu magiques qui effacent les cernes, lissent mes petites rides, repulpent en un clin d’oeil mon visage et donnent un bel éclat à mon teint.
5. Peu de maquillage mais juste l’essentiel : un mascara malin qui allonge mon regard, un rouge à lèvres ni brun, ni rose, ni rouge, juste comme j’aime. Toujours le même ! Une poudre libre qui unifie mon teint et un blush pour la touche bonne mine.
6. De l’acupuncture, ancestrale médecine, pour me recentrer, dans tous les sens du terme.
7. Et enfin, du bon temps, encore et encore, je ne connais rien de tel !