J’avais trois options :
- faire plusieurs fois le tour de l’aéroport jusqu’au prochain vol pour Moscou…
- m’enivrer dans un bar sans nom dans un lieu sans génie ni âme ni quoi que ce soit d’autre, c’est-à-dire une zone de transit international… La vodka aurait été la seule couleur locale et encore, l’alcoolisme est universel…
- attendre…
Bien sûr, c’est tout autre chose qui m’est arrivé…