Même préoccupé.
Même vexé.
Voire triste.
Le blogueur peut toujours émettre des regrets sur sa condition.
Autrement dit, il peut choisir de perdre son temps.
D'en perdre encore davantage, s'il est têtu.
Du moment qu'il garde une fenêtre pour bloguer.
Il n'avait qu'à réfléchir au bon moment.
Ou mieux.
Les deux, c'était aussi possible.
Au lieu de gémir, qu'il blogue coûte que coûte.
Personne n'interdit de bloguer sur les coudes.