Notations de Carnets de Conversations 32

Publié le 17 novembre 2010 par Collectif Des 12 Singes
  • L'amour est aveugle, il faut donc toucher (proverbe brésilien)
  • Ne doutez jamais qu'un petit groupe d'individus conscients et engagés puisse changer le monde. C'est même de cette façon que cela s'est toujours produit (Margaret Mead)
  • la réussite, c'est la rencontre d'un mental et d'un contexte
  • Profession : Rêveur de Réalité
  • Choisissez un travail que vous aimez et vous n'aurez pas à travailler un seul jour de votre vie.
  • Être moderne, c'est savoir ce qui a été déjà fait
  • Celui qui sait un peu, sait qu’il ne sait pratiquement rien et cette prise de conscience le remplit d’humilité
  • "Le monde est peuplé d'imbéciles qui se battent contre des demeurés pour sauvegarder une société absurde."
  • "Le moment présent est la piste désignée à tout nouveau départ."
  • Convaincu mais guère convaincant
  • Il n’a rien dit, je n’ai pas répondu à son silence
  • Je suis capable de résister à tout, sauf à la tentation (Wilde)
  • cadenasser l'amour, n'est-ce-pas le meilleur moyen pour qu'il s'échappe ?
  • je me suis trompé sur ton ami et sur toi
  • attends, avant de vomir embrassons-nous
  • t’es comme les flics, jamais là quand il faut, toujours là quand il faut pas
  • j’ai besoin d’un grand moment de solitude avant d’affronter un petit instant de foultitude
  • le truc le plus médiocre vaut plus que la critique qui le signale
  • tout le monde ne peut pas être un génie, mais tous les génies viennent de par tout le monde
  • qu’est-ce que tu veux ? tout ce que tu veux/peux, sur-prend moi
  • je ne sais pas ce que je vaux bien, mais je ne mérite pas ça
  • aboutissement d’un effort que beaucoup n’avaient pas souhaité faire
  • réussir une chose qu’on croyait impossible, dont on n’avait même pas rêvé qu’on pouvait le faire
  • c’est un projet exceptionnel mais je fais ça tous les jours, c’est mon métier
  • en x ans de métier, je n’ai été inquiet qu’une seule fois et c’est maintenant
  • le mensonge n’est qu’un contretemps sur le chemin de la vérité, mais qui nous poursuit tel un fil à la patte
  • c’est le bourgeois qui est le plus consanguin, à se reproduire dans sa classe sociale il finira taré
  • ses cochonnets pointent, je tire, carreau
  • j’ai la bouche scotché, elle fait ce qu’elle veut de moi, je peux pas dire non
  • j’ai un sacré pouvoir sur lui, surtout quand je n’en (sur)joue pas
  • elle a beaucoup d’appeal mais beaucoup moins de sexe, même à pile à poil
  • elle n’est pas affutée pour trancher comme un fil à couper le beurre, qu’elle n’a pas inventé d’ailleurs
  • le temps que t’aies fini de poser la question elle a déjà changé d’avis
  • scopolamine : ou tropate de scopine ou hyoscine est un alcaloïde tropanique présent chez les solanacées vireuses, proche de l'atropine sur le plan chimique, isolé par E. Schmidt en 1892. Elle est particulièrement abondante chez le Datura et le Brugmansia, notamment dans les graines, ainsi que chez le Duboisia (feuilles). C'est un parasympathicolytique, comme l'atropine, mais en revanche c'est un sédatif central. Elle provoque en outre d'intenses hallucinations délirantes, de l'amnésie (amnésie lacunaire antérograde) et des pertes de conscience comme en provoque la consommation de Datura, de Jusquiame ou de Mandragore. Elle est active à des doses de l'ordre du dixième de milligramme. À fortes doses, l'intoxication peut être mortelle. La scopolamine est un anticholinergique. Elle agit en se liant aux récepteurs muscariniques de l'acétylcholine dans le système nerveux central et périphérique empêchant ainsi l'action du neurotransmetteur. Aux fortes doses, on observe souvent des séquelles psychiatriques plusieurs mois après l'intoxication. La scopolamine a été testée comme « sérum de vérité » pendant la Seconde Guerre mondiale et est utilisée, notamment par des bandes d'escrocs en Colombie, pour dépouiller des victimes qui, sous son effet, perdent leur volonté et se laissent faire oubliant ensuite ce qui s'est passé. La scopolamine est utilisée pour lutter contre la maladie de Parkinson. Actuellement, elle est utilisée dans le traitement symptomatique de certaines douleurs digestives et gynécologiques, en soins palliatifs, ainsi que dans la prévention du mal des transports, par son action sur l'area postrema.
  • Panégyrique : du latin emprunté au grec panêguris, « assemblée de tout le peuple », est au sens strict un discours public à la louange d'un personnage illustre, d'une nation, ou d'une chose et, dans l'occident chrétien, un sermon faisant l'éloge d'un saint. Le terme a pris aujourd'hui le sens plus général de louange ou d’apologie, et s’utilise parfois dans le sens péjoratif d’éloge emphatique ou exagéré.
  • Ah bin, tu fais bien d’en parler ! Alors parlons-en !! Euh, ouais non, pas maintenant finalement !!!
  • Toujours des promesses et le même refrain où au final rien ne tient/vient
  • Pour pas qu’elle me voit, pour la prendre en embuscade, je passe à rebrousse poils, côté fesses, face Est jamais vaincue/gravie/ascensionnée
  • Sur ce, mon/mes –sieur(s), je m’en vais faire des envieux
  • Grande est la vérité, plus grand encore est le silence au sujet de la Vérité
  • Le problème du bonheur est un problème consistant à faire aimer aux gens leur servitude, qui ne peut naître sans sécurité économique
  • La réalité, quelle que utopienne/utopique qu’elle soit, est une chose dont on sent le besoin de s’évader assez fréquemment, vers quelque chose à la fois plus nocif et dispensateur de plaisir
  • À mesure que diminue les Libertés économiques et politiques, la Liberté sexuelle s’accroit en compensation
  • Les détails conduisent à la vertu et au bonheur là où les généralités sont des maux inévitables
  • Bon à rien et mauvais à tout
  • Ni bon ni mauvais, juste trop influençable
  • Il était gentil … quand il était petit mais à peine avait-il arrêté de sucer son pouce qu’il a commencé à faire des bêtises
  • On fait ce qu’on peut ! Mouais, c’est bien, tu n’as pas d’ambition
  • Quand j’ai commis une erreur je l’a corrige toujours (ou je me corrige)
  • C’est pas une question de fric mais d’éthique
  • Tu l’as quittes sur une chaîne télé/radio, tu la retrouves sur une autre, quelques canaux plus loin
  • Comme Sega, l’état c’est plus fort que toi (si tout seul)
  • La personne à laquelle je me lie ne pourra jamais remplir mon cœur
  • Une bonne masturbation est bien supérieure à un coït banal
  • Qui croit sait tout faire s’étouffe
  • Sans savoir je savais ce que c’était
  • Ça n’arrive pas tous les jours, juste tous les deux jours, tout le monde en est capable
  • Faire profiter à autrui, pas aux truies
  • La vie c’est la mort à reculons
  • Mourir pour ses idées pourquoi pas, mais de mort lente alors (Brassens)
  • C’est en faisant des erreurs qu’on apprend à ne plus en/les (re)faire
  • L’amour le matin c’est comme un carré de chocolat avant le café et le pousse-café
  • Je le concède, j’adore quand le con cède, de concert avant quand ça serre
  • La bête à deux dos, la baie/bête de somme
  • On s’emboîte comme des chevrons chevronnés
  • C’est ma Muse qui m’inspire et m’aspire autant qu’elle m’amuse
  • J’ai égoutté la nouille, la pine regala al dente qui fond dans la bouche
  • Circonstances exténuantes
  • Moi mes chakras sont ouverts
  • La colline sera montagne en devenant volcan
  • Parrain … enfin, par deux ou trois voire même treize à la douzaine
  • Ça fait longtemps que je n’ai pas été soft/sage, je suis trop souvent vilain
  • Demain j’arrête (dimanche), ouais, enfin mardi pour décompresser du lundi premier jour de la semaine de taff, enfin jeudi pour décompenser du mercredi jour des enfants, ouais bon bref la fin du we prochain pour se soulager de la semaine
  • Les CRS je les encule profond, à sec avec du gravier et de l’élan ! Mouais, sauf que c’est eux qui ont la matraque !!!
  • Je suis passé du pinceau à crin de cheval à queue de cheval
  • On septième cielise, on est deux qui s’emboîtent pour ne faire plus qu’un
  • Un petit coup vite fait ? On n’a pas le temps, et puis ce sera encore meilleur après, en fin de soirée tout bourrés tous les deux synchrones des neurones
  • Marrain et parraine
  • Je fais ce que je dis et je le dis à qui je veux, c’est comme ça et je te merde, allé, casse-toi pov’ con