l'Université Concordia, de Montréal, aurait récemment établi un lien entre la longueur des doigts de la main et la capacité pour l'homme à prendre des risques. Chez l'homme, la testostérone joue un rôle clé dans la libido. Elle raccourcit également la taille de l’index versus les autres doigts. Mais y aurait-il un rapport entre la libido et les risques littéraires ? Comme le disait MARX (Groucho, de préférence) : « Rien ne suscite autant l’amour de la littérature qu’un écrivain mis au gnouf pour avoir réveillé la libido de millions d’individus. ». Quand trop de doigté fait exploser la libido, la politique peut avoir le bras long pour signifier la prison.