Aimer ce qu’on écoute est une question de choix. On peut choisir de subir en laissant reposer ses oreilles sur du mainstream ou passer des heures à créer des playlist. Le dernier Mark Ronson met très vite fin au dilemme. Enfin à condition de se laisser porter par toutes les influences so 80’s sur lesquelles reposent tout l’album. Record Collection est un mariage réussi de sons et d’ambiances antagonistes. Le hipoper s’y retrouve aussi bien que le fan de new wave. D’ailleurs Mr Hip-Hop et Mr j’aime les synthé aux sonorités aériennes se retrouveront sans doute nez à nez avec des addictifs de la pop. Et si mes propos vous semblent incohérents, c’est sans doute parce que mêler hip-hop, synthé 80’s et pop music n’a rien d’évident à vos yeux. Ronson fait cohabiter un hommage à la génération game boy avec les morceaux The colour of crumar ou Circuit breaker avec un hymne au hip-hop old school avec Introducing the business et ça fonctionne à la perfection.
En fait l’album de Ronson est si riche en références qu’on ne sait pas par quel bout le prendre. Et on peut penser que ça fait beaucoup de compliments pour un seul artiste mais primo : l’album est signé Mark Ronson and the Business intl et secoundo, s’inspirer autant des autres et rester si original mérite bien quelques lauriers.
(+ à revoir, Somebody To Love.)
E.Deg
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble