Aujourd’hui, de retour du salon du livre de Montréal, j’ai juste envie de remercier tout le monde, lecteurs, auteurs, bloggeurs, éditeurs, pour les magnifiques moments que j’ai passés en votre compagnie samedi et dimanche. Montréal, c’est gros et on n’a jamais le temps de voir tous ceux qu’on voulait voir (je pense à Gen, Annie B, Annie Q, Richard, Mathieu et Michel, entre autres), mais ce n’est que partie remise.
Et puis, j’ai quand même eu la chance d’embrasser de nombreux anciens et nouveaux amis (par ordre d’apparition, haha !) : Isabelle, Dominic, Sylvain, Pierre H et sa Chantal, Jonathan, Corinne, Yanik, Évelyne, Marie-Julie, Carolyn, Hervé, Chantal, Francine, Élisabeth, Luc, Priska, Mélissa, Mélanie, Sophie, Éric, Pierre C., Marie, Didie, Karuna et son doux précieux, Nathaly, et bien sûr, toute l’équipe des éditons de Mortagne : Caroline, Sandy, Alexandra, Mathilde et Chloé. Ouf, ça en fait du monde (j’espère que je n’en oublie pas !), et là je ne compte même pas les lecteurs avec lesquels j’ai discuté. Je comprends pourquoi je n’ai plus aucune énergie aujourd’hui mais je le referais demain si c’était possible.
J’ai l’impression de faire partie d’une grande famille. On ne se voit que quelques fois par an, on ne se connait parfois que sur Facebook ou sur les blogues, et pourtant quand on se rencontre/revoit, c’est comme si on se connaissait depuis toujours. On partage la même passion : l’amour des livres.
Un gros merci rempli d’amour à toutes mes lectrices, nouvelles et anciennes. Ce qui m’a fait le plus plaisir en fin de semaine, ce n’est pas le nombre de ventes/dédicaces, c’est le nombre de fois où l’on m’a demandé quand mon tome 3 sortait et où l’on m’a dit qu’on tripait sur ma façon d’écrire. Ça, c’est quelque chose. Ça veut dire qu’on aime ce que j’écris au point d’être impatient de lire la suite. Je me pince encore parfois pour être certaine que c’est vrai. J’aurais bien enregistré ces mots si précieux pour me les repasser en boucle lors des moments de découragements devant la montagne de travail à abattre lorsqu’on écrit un roman.
Parlant de roman et découragement, je suis à la veille de déclarer forfait pour le Nanowrimo 2010. Eh oui. « Morte au combat » sera mon épitaphe pour cette année ! Je n’ai pas écrit depuis vendredi, j’ai donc presque 5 000 mots de retard et AUCUNE idée d’où trouver l’énergie pour poursuivre ce défi un peu fou. Pas grave. Je vais continuer à mon rythme jusqu’au 30 novembre et même si je n’ai pas 50 000 mots, j’aurais déjà plus que si je n’avais pas participé au Nano ! Et puis j’ai gagné l’an passé alors je reste avec cette fierté.
Dans tous les cas, je souhaite un bon courage pour les 9 derniers jours du Nano à tous les participants qui voient se profiler la ligne d’arrivée. You rock !