Je n'ai rien remarqué malgré nos différences,
mais vivre prés de toi était de mille chances
je t'ai perdu un soir ,éreinté de travail
que pour nous tous deux yavait plus rien qui vaille!
j'ai couru sous la pluie dans ton indifférence
j'ai compris cet instant de mille malchance.
Je n'ai cessé d'écrire comme mille bouteilles
colorées de ton nom mais anonymes et vieilles,
et la fin du printemps j'avais cessé cela,
que de perdre mon temps à parler du passé
quand dans le passé simple et tant de choses extras
que de perdre les miens depuis trois ans déjà
je ne veux plus écrire pour écrire pourquoi
j'en ai marre de vivre mais je resterais là
à mater les étoiles la nuit tombée déjà
j'ai perdu dans ma vie le joug de l'au-delà!
dis-moi, toi qui prétend savoir,
dis- moi les mots d'amour
pour fleurir ma vie
je ne suis déjà là ,
que de toi je n'ai rien
que de moi de secours
je n'en ai de reçu
que jamais en pouvoir!
le sable si brulant que se rouler par terre
je m'échappais et sans te laisser faire
je te couvrais le corps d'eau pure naturelle
au loin j'ai tout perdu tu as brulé ma vie
et là je reste seul et je n'ai plus de terre.
Je vis et je renais et je pleure en silence!