Les coach(e)s sont des farceurs.
"L'important, c'est d'y croire", c'est leur rengaine.
Si ce n'était que cela. Non, c'est aussi une fable.
"Y croire", est-ce "l'important" ?
Je propose que non.
"Y croire", est-ce confortable ?
Je dirais que ce n'est pas négligeable, mais ce que n'est pas le principal.