Notations de Carnets de Conversations 33

Publié le 04 décembre 2010 par Collectif Des 12 Singes
  • l'envers inversé n'est pas l'endroit...
  • j'ai envie de nuits blanches et de journées colorées
  • C'est à nos dépens que nous devenons sages
  • La vie est un jeu, Aimer est son enjeu
  • Tant qu’il y aura des couilles en or il y aura des larmes en acier
  • La partouze c’est partout par tous et par tous les trous
  • J’adore cette journée … maintenant qu’elle est finie
  • Dos blackos vamos membros
  • À la bonne heure, sauf que t’es à l’heure d’hier, t’es décalé complet, je vais te remonter
  • J’ai laissé mon humilité dans l’humidité de son antre torride
  • J’ai la chute des reins éreintée
  • J’ai été 6 heures 6 pieds sous terre
  • Presque rien c’est déjà pas mal, voire même beaucoup
  • Je suis bien là, dans les bras d’une femme du sexe opposé
  • Les cinq dernières minutes : bon sang/sens, mais c’est bien sûr
  • Coup de barre du matin, ressac pendant ton quart où tu prends un coup de barre dans le vagin ou entre tes mains
  • Pas un coup en rafale en mode tir rapide, plutôt un coup long un coup court
  • Bonne journée, euh soirée : pfiou, la journée est déjà bien entamée, comme moi
  • Test amant, lit tes ratures
  • Ab(d)omin-A[b]l[e], LuLu & approuvé
  • On ne fantasme que sur ce qu’on ne peut/doit pas avoir
  • Je crois que je vais arrêter, j’atteins là la perfection
  • La perfection c’est la qualité made in Me, Myself & I ®©™ Sociétaire Anonyme, established since 1978
  • Je l’ai assassiné avec les mots/maux que je lui ai assénés
  • T’es un peu fou toi non ? Je sais bien, mais par rapport à quoi te vient cet éclair de lucidité momentanée/instantanée ???
  • Qu’est-ce et quand est-ce qu’on mange ?
  • Math, tu brilles pas en société ! Normal pour du mat [(1) (1424) Du latin matus (XI e siècle), « abattu, affligé, ivre, qui a le vin triste », du bas-latin matus, « humecté, humide, amolli », lui-même peut-être dérivé de maditus, participe passé du verbe madere, « être mouillé, imprégné, être ivre ». (2) (XII e siècle) De l’arabe xx māta, « il est mort » : Qui n’a pas d’éclat, qui ne réfléchit pas la lumière. Se dit surtout des objets de métal qui n’ont pas reçu le poli définitif ou auxquels on a donné une patine spéciale]
  • Je sais comment être original tout en faisant comme tout le monde, même si mon life-motiv’ est de ne rien faire comme tout le monde, au contraire, faire tout comme personne
  • Black power Vs white flower
  • J’ai pas fini mon verre, faut que j’aille en reprendre un autre
  • Tout est dans le contexte, pas dans le texte con
  • Tu ménages tes méninges
  • Un regard noir qui transperce l’obscurité de ton âme
  • La 3è main de dieu, tu touches là la/ma perfection
  • Écriture torturée pour écrivain tortueux (ou l’inverse)
  • J’ai fait un rêve où le rêve était permis parmi les cauchemars de la réalité
  • C’est une bonne ébauche quand la débauche débouche sur la bouche
  • Je me cache sur ta couche de vieille quiche
  • On dit « jamais 2 sans 3 », là j’en boirai pas 4 … mais 5
  • Le monde ne tourne pas rond malgré/sans les Révolutions
  • Sorry, j’ai manqué de présence d’esprit, j’ai eu une absence
  • Quand t’es connu et reconnu tu peux dire tout et n’importe quoi, tout le monde te croit
  • C’est pas mal des pas mâles/maux/mots
  • Y a des maux là où y a des mâles
  • Seigneur des anneaux et roi de l’anal
  • Quand elle suce elle s’use
  • Y a du suspense ! Quand tu suces pense pas
  • Mon/ma pot(e) pourrit, sa fleur/tige est desséchée/ne fleurit plus
  • C’est le blues du jase-man
  • N’avale pas ça d’un trait comme un cheval bâté
  • Quand un massage commence on sait jamais quand/comment il s’arrête ! Si si, parle pour toi, moi je sais quand et si je dois l’arrêter à temps
  • J’ai ma raison à arraisonner
  • Nos regards se croisent/toisent quand il croise mon cœur-croisé de Play-Tex
  • plus tard quand je serai grand je voudrais être un enfant
  • le fidèle peut prier n’importe où, mais la dernière demeure est éternelle
  • je suis un modèle, pas un dieu (comme Bouddha)
  • je t’aime comme j’aime la bière, et c’est pas peu dire
  • nous on s’aime pour du bidon, comme les autres mais nous on le sait et on fait pas semblant de ne rien y voir
  • l’expérience est le meilleur professeur/enseignant
  • C’est un peu comme un repas de famille en fait : on se sent un peu obligé d’y aller, mais ce n’est pas là qu’on y mange forcément le mieux.
  • Je lève mon verre pour mes ami(e)s, et mon doigt pour les faux-culs
  • À l'apéro, même si on est pas nombreux, on est toujours plein !
  • Tu as l’avantage sur la colère quand tu te tais
  • Bravo à nous deux de nous être retenus, ce sera encore meilleur quand on craquera
  • Tu te prends pour qui, ou tu me prends pour quoi ?
  • Il faut pas que l’usure dure trop longtemps, sinon c’est moi qui sera usé
  • Aux « particules élémentaires » je préfère les partie d'cul élémentaires
  • "La provocation est une façon de remettre la réalité sur ses pieds." [Bertolt Brecht]
  • "Celui qui ne sait pas se fâcher est un sot, mais celui qui ne veut pas se fâcher est un sage" Pierre Desproges
  • L'échec est le fondement de la réussite
  • WE WON'T STOP, CAUSE WE CAN'T STOP
  • "On ne résout pas un problème avec les modes de pensées qui l'ont engendré." (Albert Einstein)
  • "La chance est la forme laïque du miracle." - Paul Guth
  • Il n’y a pas de bons et mauvais côtés en nous, ce qui compte c’est ce qu’on choisit de montrer dans nos actes
  • Travailler en collaboration, cela veut dire prendre la moitié de son temps à expliquer à l'autre que ses idées sont stupides
  • La vie est un long naufrage joyeux
  • m’étourdir pour oublier ce que je désire le plus
  • peut-être bien que Dieu est en train de m’épier comme un vieux vicelard
  • je préfère hurler des mots dégueulasses plutôt que de pleurer comme une larve. D’ailleurs, la larve a tellement pleuré hier qu’elle n’a plus rien à baver de ses yeux
  • comme j’aimerais aimer qu’il m’aime, comme j’aimerais l’aimer
  • si je m’inflige de la souffrance je peux jouir d’écrire
  • je me hais tellement que je ne peux aimer que moi
  • des hommes m’aiment, mais… ils ne raisonnent/résonnent pas avec ma folie
  • Je jouis de ma propre souffrance
  • je jouis avec des hommes qui jouissent de mon corps et non de mon âme
  • Un corps abîmé par ce que je lui ai infligé. Infliger la laideur à la beauté est une création non ?
  • je suis maître de mes propres faiblesses
  • la laideur de la douleur apitoie l’homme-rapace
  • ils veulent me protéger de ma propre folie en essayant de me mêler à la leur mais c’est impossible car je ne peux que les emporter dans le tourbillon de ma manipulation
  • J’ai été soumise à mon maître pendant des années mais c’était un leurre car je suis une dominatrice de l’inconscient
  • Sans que je le sache je rentre dans leur tête et je peux voir tout ce qu’ils veulent cacher, je peux voir leur secret, le moindre de leurs fantasmes et ils le savent
  • la mort ne fera pas taire ce que je peux voir
  • tant que je verrai je serai seule
  • dans une société de surveillance, celui qui a le pouvoir, c’est celui qui voit, celui qui est devant l’écran de contrôle. Ceux qui sont devant les caméras ne savent pas quand (ni si) Big Brother les regarde, et préfèrent donc s’autocensurer plutôt que de risquer de se voir reprocher quoi que ce soit. C’est ainsi que Big Brother parvient à les contrôler, sans même avoir besoin de les regarder. A contrario, dans la société de sousveillance (littéralement l’observation depuis le bas, par le grand public, surveillance de tous par tous, ou surveillance des surveillants), le pouvoir n’est plus de regarder, mais d’être vu, et il n’est plus vertical, mais horizontal : dans la mesure où tout un chacun a la possibilité d’être sous les feux des projecteurs, et que l’on ne s’observe non pour se surveiller, mais pour s’informer, “protéger, assister et accompagner”. A l’organisation hiérarchique qui régissait le Panopticon, où la caste des surveillants exerçait une autorité silencieuse, mais absolue et discrétionnaire sur les prisonniers, se substitue une rigoureuse égalité.”
  • C'est parce qu'on bosse comme des dingues qu'on doit pas oublier de prendre du bon temps
  • Nous sommes une armée de rêveurs, c'est pour ça que nous sommes invincibles (sous-commandant Marcos, Délégué Zéro)
  • Un peu de çi, un peu de çà, beaucoup de ceci cela
  • les gens me font peur, j'ai pas fini de trembler ici bas ! Du coup, je finirai par me casser plus tôt que "prévu"
  • la fin d'une histoire est toujours le début d'une nouvelle
  • Vous avez marqué l'histoire donc ça ne peut pas être fini!!! Enfin pas comme ça!
  • QUAND TOUT SEMBLE ALLER BIEN C’EST QU’ON A OUBLIER LE DETAIL QUI REDUIRA NOS CHANCES A NEANT
  • je préfère la messe en satin qu'en latin le dimanche matin
  • un peu de poésie dans ce monde de brutes... C'est un peu de douceur dans les cœurs
  • y avait les baby-sitters, maintenant y a les mamies sisters
  • Cela m'est plus facile de croire en Dieu qu'en l'amitié : Dieu, tu sais que si tu l'appelles, il risque de ne pas te répondre, mais de la part de ton ami... tu ne t'y attends pas.
  • « La question n’est pas de savoir pourquoi il y a des gens qui jettent des pierres sur la police,
    mais plutôt pourquoi il y en a si peu. » Wilhelm Reich (1897-1957), psychiatre, psychanalyste.
  • La haine du képi est plus forte que la peur du gendarme et de sa matraque
  • La pensée c'est comme du sable, soit tu fais des pâtés, soit tu fais des châteaux
  • "L'avantage d'être intelligent, c'est qu'on peut toujours faire l'imbécile, alors que l'inverse est totalement impossible..." Woody Allen
  • l'important c'est pas les mots que l'on utilise mais les émotions qu'ils apportent
  • la vie est un long fleuve, il faut juste savoir nager
  • Les dents c’est comme l’amour, c’est quand on souffre qu’on regrette les moments simples
  • "ne parlez pas trop, ou alors ne pensez pas" (c'est pas parce qu’on a rien a dire qu'on est obligé de fermer sa gueule!..., Coluche)
  • " L'Histoire me sera indulgente, car j'ai l'intention de l'écrire." W. Churchill
  • quelqu'un de chanceux en amour est capable d'associer vaine et nœud
  • je ne demande qu'à voir pour valider que tu te trompes sur toi-même
  • Cerise donne la Banane à ceux qui en ont dans le Citron !
  • Jamais deux sans trois, mais pas sans toi !!!
  • théorie des chocolats. Le 1er trop bon, qui donne envie d'en prendre 1 deuxième super beau à l'extérieur mais dégueulasse à l'intérieur, vient alors le 3ème pour oublier le goût du 2ème... Et là c'est le drame, le 3ème est bof... donc un 4ème, pis un 5ème pour retrouver l'extase du 1er. Je goûte, je regoûte encore, je goûte beaucoup trop, j'ai mal je regrette ! Et après on en reprend un pour oublier le goût du vomi tout frais à cause du dégueulasse alcoolisé (dont même les alcoolos ne veulent pas)
  • je t’aime plus que ce que tu m’apprécies
  • à ceux qu’on appelle à l’aide il ne faut jamais dire qu’on est en train de crever, ils ne viendraient pas
  • rester en vie c’est déjà imprudent
  • je suis ce que tu es/hais, tu seras ce que je suis/fuis
  • Alors bandes d'enculés ? Ça vous dit rien la liberté ? Vous allez en goûter !
  • Je n’aime pas la débauche, j’adore juste le bruit qu’elle fait
  • Même à vil prix ça vous fera encore une belle somme
  • À bas le monde, je veux descendre (68)
  • La vie n'est faite que de rencontres, jamais de hasard
  • "Le processus de paix ressemble à une nuit de noces dans un champ de mines." SHIMON PEREZ.
  • Avant de s’embrasser on ne peut pas savoir s’il s’agira d’un petit ou d’un grand baiser
  • Et si ce n’était pas une histoire de caresses et de sensualités, mais d’osmose et de complémentarité ?
  • Le parti vert qui voit rouge quand notre planète a des bleus à l’âme et à l’Homme
  • Ces harpagons
  • Merci, c'est vrai que là tout s'enchaîne et s'accélère, ça pas pour nous faire déplaisir :-)]}
  • Manifester son bonheur est un devoir : être ouvertement heureux donne aux autres la preuve que le bonheur est possible.
  • Avant d’aller mieux faudrait déjà accepter que tu vas mal
  • À partir de maintenant tu vis ta vie à ta façon et moi idem tout pareil
  • ça coute cher de mourir
  • ‎on paie toujours les effets des causes qu'on sème
  • Chacun son appartement, un pour trembler et l’autre pour se reposer
  • Tomber est permis. Se relever est ordonné.
  • Tout le monde a un rêve ; ce qui me rend le plus heureux c’est d’avoir réalisé le mien
  • le rêve est la clé du cachot de la réalité
  • N'aime ni Noël, ni le nouvel an et entre les deux angoisse
  • Assurez-vous que votre péché vous trouve
  • Qui est gentil … et pour qui ?
  • C’est plus facile d’être cruel que de dire ce qu’on éprouve
  • « Nous sommes tous des groupuscules » Gilles Deleuze
  • Moving is living. Staying is building