Alika, par Brrémaud et Loche

© Le Lombard, Alika Tome 1: les territoires interdits

 Une BD d'héroic fantasy au schéma classique mais avec de l'humour efficace, une quête envoûtante et des couleurs qui vont plaire à vos yeux!!

" Lors d’une cérémonie rituelle dans la seigneurie d’Albruck, la magicienne Khaani a une révélation. Plongée dans « la source » d’où elle tire son don de divination, elle voit une invasion de peuples guerriers venus des territoires interdits. Une frange d’adeptes fait alors sécession avec le culte pacifique, prônant une préparation belliqueuse à cet avenir sombre, à l’aide l’énergie de la source. L’un d’entre eux, Dhiri, pourfend Khaani et prend le pouvoir. Les opposants n’ont pas d’autre choix que de fuir en empruntant des ballons de fortune. Parmi ces derniers, Alika, la fille de Khaani, n’a que 3 ans lorsqu’elle est confiée par son grand-père, mourant, à un panda, Hiu. Bien des années plus tard, Alika est devenue une jeune fille téméraire, habitant les terres d’Albruck. Comme bien d’autres guerriers, elle souhaite s’engager pour une expédition dans les territoires interdits, afin de gagner l’o et la renommée promis par le Seigneur pour qui ouvrira une route à travers ces contrées hostiles. Elle ignore encore qu’elle se trouve sur la piste de ses origines… Elle trouve alors une équipe à laquelle s’adjoindre : Orzo, petit, vieux et teigneux, et Homs, un colosse simplet"

source de ce résumé-bien-fait-et-donc-je-vais-pas-me-fatiguer : Planète BD 

 C'est vrai, on en connaît beaucoup des histoires dans le genre et ça n'est pas une révolution absolue dans l'intrigue qui se met ici en place, tome un oblige. Mais le dessin aux teintes pastels et aux traits rappelant les mangas est plutôt original, l'histoire plaisante, la trilogie achevée, les personnages secondaires loufoques à souhait, et la magie opère donc assez bien.

Une petite BD bien agréable finalement!!

Le site de la série pour découvrir les deux tomes suivants, en savoir plus sur les auteurs etc...et le blog de Simon Loche qui vaut le détour (le blog, hein...je ne me permettrais pas...)