A l’épreuve des «Faits»
Critique
Par ERIC LORET
On ne sait rien de Marcel Cohen, mais ça peut s’arranger. Ou déranger (l’absence d’idée qu’on se faisait de lui). Il suffit de lui rendre visite à Paris, le premier jour de neige de l’hiver, non loin de la tour Eiffel. On a lu huit ans auparavant le premier volume de Faits : «Chaquehttp://www.liberation.fr/livres/01012306936-a-l-epreuve-des-faitscF AUSSIhttp://www.liberation.fr/livres/01012306937-la-forme-brisee-est-moins-mensongere