Magazine Journal intime

Blush’ party

Publié le 15 janvier 2008 par Anaïs Valente

J’ai reçu, de la Galerie Noémie, deux blush (mais comment ske ça s’écrit ?  Deux blushs ?  Deux blushes ?).  Un rose, un beige.
Passque oui Mesdames et Messieurs, je me maquille !  Parfois… A l’occasion… Rarement… Quand j’ai le temps quoi.  Et puis je suis souvent flemmarde, passque je trouve qu’avec ou sans maquillage, ben chuis moche et irrécupérable.  C’est pas un peu de mascara et un petit coup de blush qui vont faire effet chirurgie esthétique, croyez-moi.
Mais avec les fêtes, je me suis dit que ce cadeau tombait à pic.  Passqu’au moment des fêtes, je fais un réel effort pour me rendre présentable : crayon, mascara, poudre, parfum et, cette année, blush, ma bonne Dame.  Et oui, tout arrive.
Flash back.
Réveillon de nouvel an.  Je vais danser.  Alors, en prévision des centaines de grands bruns ténébreux qui vont me draguer comme des bêtes en rut, me faut un maquillach’ de fêtes.
En plus de mon habituel trait de crayon, de mon engin de torture dénommé « recourbe cils » (vous connaissez ces ciseaux qui n’en sont pas et qui servent à recourber les cils avant la pose du mascara, en tentant de ne pas recourber la paupière avec ? – question subsidiaire : pourquoi moi j’ai des cils tout raides de 3 mm et non de grands cils noirs de biches qui flirtent avec le ciel ?), du mascara posé après recourbage/recourbement/recourbation des cils, d’un peu de poudre cache-misère, je vais tester mes nouveaux blush(e)(s).  Je décide de ne pas prendre de risque : je n’utilise pas le rosé, vu ma tête de hamster gourmand.  Pas envie de ressembler à une poupée russe.  Je teste donc le beige.  J’ai lu quelque part que poser le blush sur l’arrondi (en d’autres termes, le gras) de la pommette permet d’en atténuer la rondeur, de la creuser.  Et c’est vrai que ça me donne un petit air de Claudia Chou Fleur sur le retour, du moins si l’on me regarde de dos et de loin… et avec une perruque blonde, of course.
Sois sérieuse Anaïs, ton lectorat attend ton verdict.  Et bien le blush, je trouve ça bien, tout simplement.  Ça donne une petite touche « bonne mine », et c’est vrai que ça atténue la rondeur de mon visage de new-yorkaise (en forme de grosse pomme).  La transformation n’est pas intersidéralement transcendante, mais j’adopte.  J’adhère.  
blush

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