Victor Hugo, dans son roman Quatrevingt-treize, a décrit les Blancs comme des tueurs sanguinaires, Honoré de Balzac dans Les Chouans — comme des idiots de campagne. Mais voici qu'une moscovite — Hélène Tchoudinova — les a interpellés en décrivant la lutte des Chouans contre les armées révolutionnaires comme la gloire véritable et la beauté de la France, en souffrance dans sa patrie...
De quoi parle le nouveau livre de Tchoudinova ? — de ce que l'orthodoxie n'est pas une foi "russe", mais universelle. De ce que le monde est énorme et remarquable, mais rien ne remplace la patrie. De ce que l'amitié fidèle, l'amour conjugal et la continuation de l'espèce sont des dons de Dieu, qui sont, par bonheur, possibles aussi dans les temps mauvais. » Svetlana Chechounova
Lileïa (la fleur de lys), un roman en russe de Hélène Tchoudinova (Elena Tchudinova), publié chez Lepta.
Le livre de cet auteur : la Mosquée Notre-Dame de Paris, dont nous avions parlé il y a un an et demi, doit sortir en version française, à ce qu'il paraît.