c'est vers la fin du jour aux approches de la nuit,
que je suis tout velours et cachant mon ennui,
je pense aux paraboles de la vie et la mort,
quand l'autre caracole,moi à mon triste sort
je fuis et je médis l'insolence et l'absurde
je crains trop l'ignorance et ses flots de bêtise,
et dans ce bêtisier du monde et de la vie,
je pleure et encore de cette vie pourrie!
c'est avant ton retour quand approche la nuit
que les dginns insolents sortent et me tournent la tête
mais là je les parjure , les convie à la fête
sitôt sortis de moi je ferme la fenêtre
et c'est dans le grand froid qu'ils officient leur fête!
Où est passé le roi et ses grandes brulures?
ELLES TRAVERSENT LE FROID IGNORANT LES SOUILLURES...
c'est là que tu arrives visage froid et rude
pour effacer les traces des heures de luxure,
et là ni bêtisier, caracolant en tête
ne peut faire oublier ton regard à ces êtres!
immondes et insolents dans leur ultime attaque
les dginns se regroupent en lance acérée,
mais la force brutale , peut-on imaginer
de vaincre la morale la victoire est dédiée!