Les 35 heures, le Père Noël n'en bénéficie pas.
Il n'est pas non plus rétribué en conséquence.
Ce n'est pas pour dire du mal, mais, Père Noël, ça gagne bien, on peut ne pas regarder sa montre en période de surchauffe. Mais ce n'est pas exactement la question aujourd'hui.
Les 35h, le Père Noël n'y est pas, mais les 250 h, il ne peut pas s'y mettre.
L'âge, peut-être. Ou les rhumatismes. Les deux, si ça se trouve. Ajoutez le mental, ce n'est pas parce qu'on est Père Noël que l'on a toujours un mental de winner.
Or, cette année où TOUS les foyers sont pleins de pépettes (non, les pépettes gling gling), le Père Noël est débordé, dépassé, out of course.
Il a fallu qu'il mette la main sur un collaborateur.
De préférence, quelqu'un avec de l'expérience.
Surtout, capable de le comprendre.
Car le Père Noël n'a pas seulement à faire avec l'âge, les rhumatismes, le mental, il a aussi à serrer les boulons.
Les largesses, cette année, ce ne serait pas bien vu.
Alors il a pensé à un vieux pote : le Père Fouettard.
Celui-ci lui a promis qu'il allait s'appliquer.
Il espère un petit coup de pub.
Le temps s'y prête.
Non ?
Vous n'avez pas de neige, vous ?